Ce marathon a eu lieu le Samedi 27 Mai 2017 à Luxembourg ville. C’était le weekend de l’ascension. Le départ du marathon fut donné le samedi soir à 19h sous une forte chaleur.
Des participants racontent:
Christophe (R)
Après celui de Nantes en 2016, je m’étais mis dans la tête d’en faire un en 2017.
Et la section lança le déplacement à Luxembourg. J’y vais, l’occasion est là, aller faire un marathon dans une capitale.
Inscription le 31 octobre avant une augmentation de tarif. On ne sait jamais, 6 mois c’est long.
Les semaines passent, nous en parlons de plus en plus avec les comparses Daniel, Mathilde… quel programme suivre.
Mais chacun a un objectif différent. Je reprends le même que pour Nantes. 4h15, peut-être ambitieux!
Le programme débute le 21 mars : une séance cool le mardi, une séance de fractionné long le jeudi et une séance longue le weekend. Tout se passe bien jusqu’au dimanche 2 avril. Sortie groupée sur Arradon, en face Conleau, je vois encore la racine, elle ne s’est pas rangée. Je termine tant bien que mal.
Dur le mardi. Y a un truc qui va pas. Rien le jeudi et le weekend. J’enchaîne donc une sortie le lundi et une le mardi. Voir où j’en suis. L’horizon se voile le mardi, 45 minutes et impossible de courir. Et bien là…
J’appelle mon ostéo le lendemain, pas possible avant une grosse semaine… la tuile. Et ouf je trouve finalement un rendez-vous le soir chez l’ostéo en bas de chez moi. Ça s’éclaircit à nouveau.
Le rendez-vous se passe se bien. Je remonte chez moi avec la banane. Je peux même recourir le lendemain. Ben non en fait…
Je reprends le dimanche, nickel.
J’enchaîne les séances avec les des zami(e)s pour le fractionné et les sorties longues. Ils se reconnaîtront, merci à eux/elles.
La charge d’entraînement diminue des petites douleurs reviennent… bizarre.
Une dernière séance tranquille en passant par le port pour voir les bateaux… mardi dernier.
Au pot, les encouragements, des conseils… vont bon train. J’entre doucement dans la course.
Je vous passe ensuite les détails du voyage, la chaleur…
Vendredi arrive nous récupérons nos dossards… ça y est je suis dans la course. Je commence à imaginer le déroulement de la course!
Des lasagnes samedi midi, excellent. Une légère sieste.
Chacun se prépare. Chacun a ses rituels… pommades, pansements, breuvage…
On arrive à Luxexpo bien à l’heure.
A 18h30, chacun se dirige vers son sas de départ. J’attends le départ au début du mien juste derrière Alba, Daniel et Mathilde à la fin du leur. On tue le temps sous une chaleur éprouvante.
19h le départ. Au bout de 2 kilomètres je me retrouve seul Asptt.
Les kilomètres passent. Je réussis à avaler une pâte d’amandes (bof). La chaleur est toujours bien présente. Un peu plus tard j’avale une pâte de fruit (beurk).
Les kilomètres défilent doucement. Je n’arrive pas à accélérer même dans les descentes, les b….s. La galère commence.
Au 14ème, les encouragements des amis et de la famille de Mathilde me mettent un peu de baume au cœur. Ce fut de courte durée. A peine passé, j’entends “Allez Maman”. J’imagine qu’elle se rapproche.
Un peu avant le 18ème, Mathilde me rattrape, en pleine forme. Je lui explique mes maux. Elle m’encourage. J’avance doucement même très doucement.
Je cherche des toilettes. On finit par en trouver au 20ème, rien n’y fait. L’abandon me trotte dans la tête. Je lui en parle, elle l’avait compris bien avant. Elle essaie de détendre l’atmosphère.
Nous continuons à courir lentement (surtout moi).
Mathilde me dit “j’ai de l’argent, un coca te ferait peut-être du bien”. Je regarde les gens sur le bord, pas de coca…
Je retrouve le sourire (tout est relatif) au 25ème. Un troquet en vue. De toute façon ce ne sera pas pire. Scène surréaliste et rigolote je rentre prendre un coca.
Je repars la bouteille à la main. Le sucre me fait du bien, le ventre est bien vide.
Ma comparse du jour continue de m’encourager…
Je commence à reprendre confiance… tout est relatif ici aussi.
Nous marchons de temps à autres, pas longtemps… Par moments, Mathilde marche à côté et moi je cours. C’est bien connu elle marche vite!
Les kilomètres s’égrènent. Je continue de me nourrir de cola sur les ravitaillements.
Nous retrouvons Alba au 35ème (pas sûr du kilomètre) toute pimpante, ayant déjà récupéré de son semi. Elle fait un bout avec nous. Moment bien sympa.
Arrive le 37ème, nous quittons la ville. 5 bornes longues en montée toujours avec les encouragements de Mathilde.
Je cours toujours (trop content).
Et le deal de fin, à la flamme rouge, on court et on ne s’arrête pas! Françoise et Roland nous applaudissent à 500 mètres de la ligne.
Je savoure l’entrée dans la salle et nous finissons main dans la main. Que d’émotions!!! Quelle galère mais content d’y être venu à bout. Quel pied!
Tout seul, j’aurais peut-être abandonné, même si je ne sais pas faire.
Vous l’aurez compris. Le marathon a été compliqué pour moi. Le plaisir s’est éloigné et est revenu ensuite. J’avais imaginé un plan de course et ça ne s’est pas déroulé comme prévu! La chaleur a joué un grand rôle (32 °C au départ et encore beaucoup à l’arrivée) mais pas que.
Circuit agréable dans la belle ville de Luxembourg (monuments).Super ambiance sur le parcours (musique, population/supporteurs/spectateurs festifs…).
Un peu déçu de ne pas avoir eu de bière à l’arrivée… surtout pas réussi à en boire.
Félicitations à tous les autres participants, chacun a atteint son objectif!
Et
Merci Mathilde de m’avoir supporté (dans les 2 sens) pendant plus de 24 km. Chapeau bas!
Merci au Coca.
Merci à tou(te)s les zami(e)s pour leurs conseils, leurs encouragements, leurs mots sympas…
Je vous souhaite de vivre une telle expérience. J’en garde beaucoup de positif.
Hâte de retrouver le groupe et à la prochaine course. Mais avant récupération!
Totof sur son nuage
PS : week-end bien organisé, agréable et fatiguant. Belle destination, mon image a changé sur ce pays. A refaire pour un prochain marathon qui sait!
Mathilde
29 Mai 2016 nous venons de parcourir les 42,195 kms du Marathon du Mont St Michel, pour certains en Solo et pour d’autres en Duo. Et nous parlons déjà des prochaines courses envisagées…Michel, le parrain de mon fils Antoine, qui est Luxembourgeois, nous parle alors du Marathon du Luxembourg qui se déroule en général le dernier week-end du mois de Mai. C’est un marathon qui se court le samedi soir en semi nocturne.
L’idée germe doucement…
La date officielle tombe assez rapidement, il se déroulera bien le dernier week-end du mois de Mai et après consultation du calendrier 2017 il s’avère que ce sera au moment de l’ascension. Une bonne occasion pour faire le déplacement sur 4 jours et en profiter pour faire découvrir ce pays aux amis de l’Asptt.
Septembre 2016, ouverture des inscriptions… J’hésite encore. La distance me paraît abordable après avoir parcouru au mois de Juin les 38 kms du 1er relais du Raid du Golfe. Quand j’y pense il y a 3 ans je disais “je ne ferai jamais plus de 10kms!”, depuis j’ai banni le mot “jamais” en ce qui concerne la course à pied et dans bien d’autres domaines aussi.
La date du 1er changement de tarif approche, il est temps de se décider! Et me voilà inscrite .
Je propose au bureau de la section d’organiser le déplacement pour celles et ceux qui voudront bien m’accompagner. Après validation tout s’enchaîne… Inscriptions, réservations, organisation. Nous serons 9 à prendre le départ. Alba, Françoise et Roland sur le semi ainsi que Christiane, Christophe R., Hervé, Christophe D., Michel et moi sur le marathon…
Début Mars à la suite d’une blessure lors du Trail du Cap Sizun, ma participation au marathon est plus qu’incertaine. Rdv ostéo et kiné… Je mets toutes les chances de mon côtés pour me débarrasser de ce syndrome de l’essuie-glace.
En parallèle je reprends la course tranquillement mais impossible de commencer le plan d’entraînement à la date prévue. J’évite de me mettre la pression, ce marathon n’est qu’une étape dans ma préparation des 56 kms du Raid du Golfe.
Je décide alors de faire une préparation aux sensations. Peu de fractionné, j’augmente les distances petit à petit, j’intègre de la marche rapide dans mes entraînements.
L’objectif est de pouvoir parcourir ces 42,195 kms peu importe le temps qu’il me faudra. Les périodes de doutes sont nombreuses. Néanmoins j’arrive à reprendre confiance, le genou se fait de moins en moins douloureux.
Au fil des semaines Christophe, Daniel et moi partageons nos entraînements et nos impressions sur la préparation de ce marathon, c’est rassurant de voir que nous avons les mêmes craintes et en même temps une certaine excitation qui s’installe à l’approche de cette date.
Christiane me confie qu’elle prépare également les 56 kms du Raid du Golfe, ça me rassure… je pourrai courir avec elle tranquillement.
24 Mai 2017 c’est le grand départ, nous prenons la route pour le Luxembourg, une nuit à rouler, entrecoupée de pauses thé/café et bons gâteaux…
Michel et Elodie nous réservent un très bel accueil, il fait un temps magnifique et déjà chaud. Nous consacrons la journée du jeudi 25 aux siestes et à la découverte de la campagne Luxembourgeoise. Le vendredi nous allons chercher nos dossards et visiter Luxembourg ville avec quelques repérages du parcours qui nous attend. Ça monte, ça descend et ça ne nous rassure pas vraiment lol.
Durant ces quelques jours qui précèdent la course chacun partage ses “trucs et astuces” au fil des conversations, ce sont des échangent vraiment sympas ponctués de questions, d’étonnements, de taquineries et de rires.
Samedi 27, c’est le jour J! Chacun prépare ses petites affaires, ceintures, sac d’hydratation, boissons, collations, mise en place de dossard (mais quel t-shirt mettre il fait très chaud, certain porterons les couleurs du club quand d’autres choisiront le confort d’un débardeur moins chaud). Un mélange d’odeur de crème et d’huile essentiel se fait sentir, les bandes “taping” colorent quelques jambes. Les miennes sont bleues assorties au t-shirt ????.
Un bon déjeuner préparé par Elodie, Hervé et moi-même, un dessert “léger”, café/thé et gâteau breton fait par Christiane, une dernière sieste…
Tout le monde a l’air détendu, moi y compris, c’est assez étonnant. L’avantage d’un départ le soir c’est qu’il n’y a pas la précipitation du matin qui peut engendrer du stress. On est plutôt en mode “vacances”!
16h30 il faut partir, une petite photo devant le minibus du club, on s’entasse à 9 dedans, il fait une chaleur à peine supportable.
17h30 nous retrouvons Alba qui nous attend depuis plus d’1/2h et qui est ravie de nous voir enfin arriver. Sur le chemin nous récupérons, chapeaux, tambourins, tutu et bandeaux distribués par l’organisation. L’ambiance est déjà très festive. On s’hydrate, mange du gâteau sport, fait une pause pipi, puis on dépose nos sacs à la consigne, on s’installe dans une salle de Luxexpo, à l’écart de la foule, il fait chaud mais moins que dehors en plein soleil. On continue à boire, re pause pipi, AU SECOURS la file s’allonge et on n’a plus le temps d’y retourner au risque de louper le départ.
18h45 c’est l’heure de se mettre en place dans nos sas de départ, je vois Christiane partir dans le sien le G, nous ne courrons finalement pas ensemble…, Alba, Daniel, Christophe D. et moi prenons place à la fin de E pour rester proche de Christophe R. qui se met au début du F. Françoise et Rolland nous avaient quittés quelques temps avant, nous ne les reverrons pas avant la fin de notre course. Michel et Hervé sont loin devant, on ne joue pas dans la même cours!
19h le départ est donné, nous voyons les 1er coureurs passer sur la butte devant nous, ça avance doucement puis c’est notre tour, ça y est C’EST PARTI on s’élance pour 42,195 kms alors qu’il fait encore 32°C!!! Christophe D., Alba et Daniel prennent vite le large. J’ai toujours une terrible envie d’aller aux toilettes, je m’arrête dès que je peux, à moins d’1km du départ, Christophe R. continue je lui dis de ne pas m’attendre! Puis je repars seule, il y a tellement de coureurs et de spectateurs que je ne me sens pas seule bien longtemps.
Avec cette chaleur je ne regrette pas d’avoir pris mon sac d’hydratation malgré les ravitos tous les 2,5 kms. Je m’y arrête à chaque fois, j’alterne entre de l’eau et la boisson énergisante, je crains la déshydratation. Je découvre aussi des espèces de petites barres de céréales enrobées de chocolat blanc, un vrai délice! (je n’ai pas perdu ma gourmandise légendaire lol).
Ça descend doucement, ça monte aussi doucement mais ça n’a rien de plat, mais c’est quoi ce marathon!!! ???? Les dossards “21km” et “Team Run” ne cessent de me doubler, surtout ne pas se laisser aller à l’envie de les suivre. Les 3-4 premiers kms parcourus je me sens enfin bien. Régulièrement il y a des groupes de musique qui donnent la pêche! Les habitants ont sortis les jets d’eau et improvisent des douches pour les coureurs. Ils sont nombreux à prendre l’apéro/dîner dehors sur les trottoirs et à nous encourager. C’est vraiment très festif, je suis portée par cette ambiance. Quelques fois j’entends mon prénom, surprise, je me rappelle que nos dossards portent nos prénoms, ça motive! Les kms défilent, 10kms 1h10 tout va bien puis j’entre dans le cœur historique de la ville, je reconnais des endroits parcourus la veille, j’arrive bientôt au parc, je sais que ma sœur, Elodie et les enfants y sont pour nous encourager. La route se resserre il y a beaucoup trop de coureurs sur les allées du parc, je crains de ne pas réussir à les voir, je ralentis mon rythme, et BONHEUR j’aperçois Antoine, je me fais entendre pour qu’ils me voient. Je fais un bisou à tout le monde. Ils m’encouragent avec des “Aller Maman! Aller Mathilde!” ça me redonne de l’énergie.
Voilà une séparation de parcours entre le 14ème et 15ème km il me semble, j’entends “Team Run” à droite, je m’engage donc à gauche pour me rendre compte au bout de quelques mètres seulement (ouf!!!) que je suis entourée seulement de dossards “21 km”, je me suis trompée (le boulet), je fais demi-tour et reprends le bon chemin! D’un coup il y a beaucoup moins de coureurs, c’est agréable je “respire” et me sens moins embarquée par la vitesse des autres participants.
Je commence à sentir le mal de tête qui s’installe, il faut que je boive d’avantage.
Entre le 17 et 18ème km je retrouve Christophe R. qui me dit qu’il ne se sent pas bien, rien ne passe, ni boisson, ni alimentation, il a des douleurs au ventre. Je suis partagée entre l’envie de continuer sur ma lancée et celle de rester avec lui, à sa place j’aimerais qu’on me soutienne, qu’on m’emmène jusqu’à la ligne d’arrivée… Je me rappelle que ce marathon n’est pas mon objectif principal! Je décide de me mettre à son rythme et de parcourir les 24 prochains kms avec lui. Pas facile facile de réduire mon rythme, je l’encourage, on court, on s’arrête aux différents ravitos, on cherche des toilettes, à force de boire moi aussi j’ai besoin de faire une pause.
Christophe perd confiance, il pense à l’abandon, j’essaye de le rassurer et de le motiver comme je peux, de parler de choses et d’autres pour lui changer les idées et de me taire aussi, je ne sais pas ce qu’il a envie d’entendre dans ces moments-là. On marche un peu dans les côtes, je le sens sans énergie, ça me fait de la peine de le voir comme ça… Je commence à avoir mal aux pieds mais je n’ose pas me plaindre, c’est rien… Il me dit qu’il a envie d’un coca…malheureusement il n’y en a pas sur les ravitos. Je sais que j’ai de la monnaie dans mon sac, je scrute les alentours, on passe 2 stations-services fermées (forcément vu que le marathon passe par là il n’y a pas de voiture qui pourrait s’y arrêter…), Christophe demande à des supporteurs s’ils ont du coca, la réponse est négative… Peu de temps après une brasserie, je propose de lui en payer un (c’est assez comique comme situation quand on y pense!!!). Puis nous repartons, on doit être aux alentours du 25ème km, pour moi tout va bien, les cuisses et les pieds qui chauffent mais rien d’anormal après tant de kms, je trouve que les kms ne passent pas vite. Christophe retrouve des couleurs et même le sourire! L’abandon est derrière lui, on ira jusqu’au bout!
Juste avant le 30ème km une belle descente, elle me fait mal aux cuisses c’est terrible, elle est longue, je n’en vois pas le bout. C’est la descente ou le fameux “mur” qui arrive? Heureusement une fois sur le plat ça va mieux. On passe sous les lampions, c’est joli.
On continue à s’arrêter à chaque ravitaillement, le coca a fait son apparition et les barres de céréales sont de retour. Le bilan calorique sera sûrement nul pour moi à l’arrivée lol.
On remonte et retourne dans le centre-ville, c’est la grosse fiesta sur une grande place, on traverse des nuages de fumée suspecte lol. Puis quelques temps plus tard Alba est là, avec son sourire, son accent et son énergie débordante, elle nous donne la pêche, fait quelques mettre avec nous et nous raconte des histoires, puis nous souhaite bon courage pour les derniers kms, elle les a fait aussi et nous prévient qu’ils sont difficiles. En ville les supporteurs sont encourageants et très joyeux, ils n’ont sûrement pas bu la même chose que nous!!! ????
Ça y est on sort de la ville, les supporteurs se font de plus en plus rare, il y a encore quelques DJ qui font de la musique sur le parcours. Ça commence à monter, on croise des coureurs médaille au cou, nous aussi on l’aura bientôt! Ces 7 derniers kms me paraissent interminables. Je suis toujours en forme et me surprend à avoir envie de marcher aux côtés de Christophe qui court. Le rythme est trop lent, mais hors de question de le lâcher si près du but! On passe la flamme, le rythme s’accélère un peu et nous terminerons cette belle course main dans la main sous les encouragements de Françoise et Roland!!!
n me remet ma médaille, elle est belle, je suis fière de moi, fière d’avoir parcouru ces mythiques 42,195 kms pour la 1ère fois, d’avoir accompagné et partagé ce moment avec Christophe R.! BRAVO tu peux être fière aussi, tu l’as bien méritée cette médaille!!!
C’était un beau moment de partage et d’entraide.
Daniel, Christophe D. Hervé et Michel nous accueillent. Christiane arrivera peu de temps après nous. Le sourire est sur tous les visages!!!
Avant de partir je ne savais pas s’il y en aurait un prochain…à peine quelques heures après avoir franchi cette ligne d’arrivée, je peux le dire presque avec certitude… j’en referai au moins 1!
Il est 4h, la nuit va être courte demain il faut rentrer en Bretagne…
Ce week-end restera inoubliable dans sa globalité!
Félicitations à tous pour avoir franchi la ligne d’arrivée de ce parcours exigent et d’avoir surmonté la chaleur!
Merci à tous d’avoir permis la réussite complète de ce week-end ????
Merci pour vos encouragements et vos félicitations quel qu’en soit leur forme!
Et un merci tout spécial à Christophe de m’avoir supportée pendant 24 kms ????, grâce à toi je n’ai pas puisé dans mes réserves pour mon prochain objectif ????.
Daniel
Rassurez vous je ne vais pas vous raconter ma course , je n’ai pas les talents de conteurs de Christophe et Mathilde juste pour dire que c’était mon 8ème marathon mais aussi le plus difficile. Félicitations Mathilde pour ton organisation au top et pour ta disponibilité. Pour ta gestion aussi car arriver à 0’01 euros près il faut le faire, finalement je comprends le coup des desserts non payés au resto le vendredi soir. Merci à mes compagnons de voyage qui bien que long fut très agréable et à mes compagnons de course, nous avons tous souffert mais avons tous terminé cela renforce les liens, on s’est tous demandé à un moment ce que l’on faisait là pendant la semaine du golfe. Nos hôtes au Luxembourg ont été vraiment extra avec accueil au top et visite de la région, journée culturelle le vendredi et sportive le samedi. C’était ma première grande sortie avec le club j’en garderai un super souvenir un marathon en ville , un samedi soir c’est vraiment génial, quelle ambiance dans les rues !
Plein d’encouragements , Allez la Bretagne!
Un gros bémol quand même Mathilde, nous faire courir par 32 degrés avec 12 km de côtes après le 30ème km, tu es malade ou quoi ?
